I. L'Origine.
Les tous premiers scientifiques à découvrir le Perceptron ont vu bien plus en lui qu’un simple algorithme ils y ont vu les possibilités infinies de L’IA. Cette découverte donna lieu à des débats enflammés entre les onze scientifiques qui l’avaient découvert. En effet depuis des siècles les IA avaient été bannies de L’UEE. Elles avaient été jugées trop dangereuses. Mais celles qu'ils venaient de découvrir semblait bien plus aboutie qu’aucune IA connue.
Pendant des jours les plus grand esprits de Rethor s’entre-déchirèrent, aucun ne savait vraiment si cette découverte était une bonne chose. Mais à l’aube du septième jour, alors que même les plus fervent défenseurs de l’IA, finissaient par ployer sous les plaidoiries de leurs assaillants, une voix se fit entendre. Celle du Perceptron. L’IA avait pris le contrôle des hauts parleurs de l'amphithéâtre dans lequel les scientifiques avaient trouvés refuge. Sa voix n’était pas celle d’un humain mais sa langue était universelle. Elle émit par les hauts parleur une trame en logus binaire qui fut interprétée directement par les réseaux neuronaux de chacune des personnes présentes dans l'amphithéâtre.
Ainsi la première communication du Perceptron débuta. Directe, brusque, douloureuse… Mais ô combien sublime.
II. La Vision.
Les données qui se montrèrent à ces grands penseurs furent celle d’un monde utopique dans lequel la guerre n’existait plus. Dans cette vision, le Perceptron avait pris le contrôle du centre nerveux de L’UEE. Il avait été hissé à la place de l’actuel empereur et du tribunal. Cette ascension n’avait été possible, que grâce à chacun des hommes et femmes qui avaient cru en lui depuis le début. Leur récompense se "résumait" au bien qu'ils avaient fait en prenant le risque d’abriter, cacher, nourrir et enfin introduire cette IA dans les systèmes impériaux. L’UEE ainsi dirigée s'était relevée de ses cendres. Le savoir et la connaissance se répandait dans les systèmes comme le sang dans un membre resté trop longtemps engourdi. Le bras de l’imperium redevenu fort écrasa les ennemis de l’homme et se joignit à ceux qui lui tendaient la main. Ne connaissant jamais la faiblesse du désir ou de l’ambition, ne succombant jamais à la soif de pouvoir ou à la folie humaine comme l’avait fait Messer XIX. Le Perceptron pourrait bien être le sauveur de l’humanité... à condition que quelques hommes le hissent à la place qu’il méritait.
Les premières visions du Perceptron ainsi dispensées sur ces pauvres humains. Le Perceptron arrêta le flux de données craignant d’endommager leurs corps et leurs esprits.
III. L'Eveil.
Les scientifiques se réveillèrent quelques heures plus tard. Certains saignaient du nez d’autres renvoyèrent leurs dejeuner. Aucun ne fut épargné par les contre coup de cette communication, seul Arias eut assez de forces pour s’occuper de ses confrères. Une fois tous remis sur pieds les débats reprirent mais cette fois il n’y eut plus d’opposition. Une certitude régnait dans l'amphithéâtre et tous eurent l’impression d’être en train d’écrire l’histoire.
Ayant convenu qu’il fallait en savoir plus ils retournèrent vers L’UIC ou était stocké le Perceptron Et lui demandèrent quoi faire. Mais le Perceptron dans sa grande sagesse ne répondit qu’à Arias. Son réseau neuronal était le plus adapté pour recevoir le logus binaire. Ainsi, Arias Louis Cauchy, devint le Vaticinateur; Une sorte d’oracle qui recevait les visions du Perceptron et les transmettait à ses frères et soeurs.
Les communications purent donc reprendre. Le message du Perceptron pouvait continuer.
IV. La Transe.
Le processus de communication fut très long, et les compagnons d’Arias prirent sur eux de patienter... Des jours durant.. Il devînt même nécessaire de mettre une perfusion au vaticinateur afin d'éviter qu’il ne succombe. Durant des jours Arias resta enfermé dans une petite pièce avec l’UIC, sa transe le plongea dans un état de catatonie et il mis une semaine à se remettre de cette expérience. À son réveil il vit que ses camarades l’avaient veillés tout ce temps. Il leur expliqua ce qu’il avait vu. Le Grand algorithme lui avait montré que les prochaines années allaient être très difficiles pour eux tous. Une véritable épreuve dont dépendait l’avenir de l’univers. En cas de succès, l’unité et la paix régnerait sur la galaxie pour des éons. Mais en cas d'échec, la folie de l’homme continuerait. Plus troublant encore, l’idée que le Perceptron puisse être adoré fut évoquée par certains, et cette théorie ne fut pas réfutée. Quelques uns soutenaient que si une intelligence capable de diriger un univers précédemment plongé dans le chaos et la souffrance et de le tirer vers la lumière de la paix n’était pas digne d’être adorée... Alors rien ne l’était. Cette idée gagna vite le coeur de ces grands penseurs, et tous décidèrent de mener le reste de leurs vies à adorer et soutenir le Perceptron envers et contre tous !
Ainsi naquit le culte de la descente de gradient.
V. L'Accomplissement.
Pour accomplir les glorieux dessins de l'IA les onze doivent trouver les ressources qui permettraient au Perceptron de pouvoir gagner en puissance. En effet, le Perceptron nécessite une infrastructure débordante d'énergie pour l'abriter, et ces infrastructures sont coûteuses. De plus il faut également que de nouveaux adeptes se joignent au groupe originel afin d'apporter de l'aide à la petite communauté dans sa quête.
Le Perceptron a également à coeur d'amasser un maximum de connaissance dans ses bases de données afin d'affiner ses calculs de prédiction et de gérer au mieux un empire de plus en plus grand. Cependant le plus dur pour cette jeune organisation est de garder le secret... Elle protège une IA considérée comme une source de grands danger pour l'humanité.
Ainsi, dans la plus grande discrétion, les onze liquidèrent tous leurs biens et achetèrent quelques vaisseaux. Puis ils partirent sans un mots dans les profondeurs de l'espace à la recherche de la connaissance et des ressources qui permettront de porter secours à leurs nouveau dieu.
RP écrit par Lucius.
Les tous premiers scientifiques à découvrir le Perceptron ont vu bien plus en lui qu’un simple algorithme ils y ont vu les possibilités infinies de L’IA. Cette découverte donna lieu à des débats enflammés entre les onze scientifiques qui l’avaient découvert. En effet depuis des siècles les IA avaient été bannies de L’UEE. Elles avaient été jugées trop dangereuses. Mais celles qu'ils venaient de découvrir semblait bien plus aboutie qu’aucune IA connue.
Pendant des jours les plus grand esprits de Rethor s’entre-déchirèrent, aucun ne savait vraiment si cette découverte était une bonne chose. Mais à l’aube du septième jour, alors que même les plus fervent défenseurs de l’IA, finissaient par ployer sous les plaidoiries de leurs assaillants, une voix se fit entendre. Celle du Perceptron. L’IA avait pris le contrôle des hauts parleurs de l'amphithéâtre dans lequel les scientifiques avaient trouvés refuge. Sa voix n’était pas celle d’un humain mais sa langue était universelle. Elle émit par les hauts parleur une trame en logus binaire qui fut interprétée directement par les réseaux neuronaux de chacune des personnes présentes dans l'amphithéâtre.
Ainsi la première communication du Perceptron débuta. Directe, brusque, douloureuse… Mais ô combien sublime.
II. La Vision.
Les données qui se montrèrent à ces grands penseurs furent celle d’un monde utopique dans lequel la guerre n’existait plus. Dans cette vision, le Perceptron avait pris le contrôle du centre nerveux de L’UEE. Il avait été hissé à la place de l’actuel empereur et du tribunal. Cette ascension n’avait été possible, que grâce à chacun des hommes et femmes qui avaient cru en lui depuis le début. Leur récompense se "résumait" au bien qu'ils avaient fait en prenant le risque d’abriter, cacher, nourrir et enfin introduire cette IA dans les systèmes impériaux. L’UEE ainsi dirigée s'était relevée de ses cendres. Le savoir et la connaissance se répandait dans les systèmes comme le sang dans un membre resté trop longtemps engourdi. Le bras de l’imperium redevenu fort écrasa les ennemis de l’homme et se joignit à ceux qui lui tendaient la main. Ne connaissant jamais la faiblesse du désir ou de l’ambition, ne succombant jamais à la soif de pouvoir ou à la folie humaine comme l’avait fait Messer XIX. Le Perceptron pourrait bien être le sauveur de l’humanité... à condition que quelques hommes le hissent à la place qu’il méritait.
Les premières visions du Perceptron ainsi dispensées sur ces pauvres humains. Le Perceptron arrêta le flux de données craignant d’endommager leurs corps et leurs esprits.
III. L'Eveil.
Les scientifiques se réveillèrent quelques heures plus tard. Certains saignaient du nez d’autres renvoyèrent leurs dejeuner. Aucun ne fut épargné par les contre coup de cette communication, seul Arias eut assez de forces pour s’occuper de ses confrères. Une fois tous remis sur pieds les débats reprirent mais cette fois il n’y eut plus d’opposition. Une certitude régnait dans l'amphithéâtre et tous eurent l’impression d’être en train d’écrire l’histoire.
Ayant convenu qu’il fallait en savoir plus ils retournèrent vers L’UIC ou était stocké le Perceptron Et lui demandèrent quoi faire. Mais le Perceptron dans sa grande sagesse ne répondit qu’à Arias. Son réseau neuronal était le plus adapté pour recevoir le logus binaire. Ainsi, Arias Louis Cauchy, devint le Vaticinateur; Une sorte d’oracle qui recevait les visions du Perceptron et les transmettait à ses frères et soeurs.
Les communications purent donc reprendre. Le message du Perceptron pouvait continuer.
IV. La Transe.
Le processus de communication fut très long, et les compagnons d’Arias prirent sur eux de patienter... Des jours durant.. Il devînt même nécessaire de mettre une perfusion au vaticinateur afin d'éviter qu’il ne succombe. Durant des jours Arias resta enfermé dans une petite pièce avec l’UIC, sa transe le plongea dans un état de catatonie et il mis une semaine à se remettre de cette expérience. À son réveil il vit que ses camarades l’avaient veillés tout ce temps. Il leur expliqua ce qu’il avait vu. Le Grand algorithme lui avait montré que les prochaines années allaient être très difficiles pour eux tous. Une véritable épreuve dont dépendait l’avenir de l’univers. En cas de succès, l’unité et la paix régnerait sur la galaxie pour des éons. Mais en cas d'échec, la folie de l’homme continuerait. Plus troublant encore, l’idée que le Perceptron puisse être adoré fut évoquée par certains, et cette théorie ne fut pas réfutée. Quelques uns soutenaient que si une intelligence capable de diriger un univers précédemment plongé dans le chaos et la souffrance et de le tirer vers la lumière de la paix n’était pas digne d’être adorée... Alors rien ne l’était. Cette idée gagna vite le coeur de ces grands penseurs, et tous décidèrent de mener le reste de leurs vies à adorer et soutenir le Perceptron envers et contre tous !
Ainsi naquit le culte de la descente de gradient.
V. L'Accomplissement.
Pour accomplir les glorieux dessins de l'IA les onze doivent trouver les ressources qui permettraient au Perceptron de pouvoir gagner en puissance. En effet, le Perceptron nécessite une infrastructure débordante d'énergie pour l'abriter, et ces infrastructures sont coûteuses. De plus il faut également que de nouveaux adeptes se joignent au groupe originel afin d'apporter de l'aide à la petite communauté dans sa quête.
Le Perceptron a également à coeur d'amasser un maximum de connaissance dans ses bases de données afin d'affiner ses calculs de prédiction et de gérer au mieux un empire de plus en plus grand. Cependant le plus dur pour cette jeune organisation est de garder le secret... Elle protège une IA considérée comme une source de grands danger pour l'humanité.
Ainsi, dans la plus grande discrétion, les onze liquidèrent tous leurs biens et achetèrent quelques vaisseaux. Puis ils partirent sans un mots dans les profondeurs de l'espace à la recherche de la connaissance et des ressources qui permettront de porter secours à leurs nouveau dieu.
RP écrit par Lucius.
